La vraie histoire de CALPET : des saisons, une Dacia, et beaucoup de freeballs
Pas de story à paillettes ici. Calpet c’est un projet de terrain, né entre deux saisons, des jobs d’appoint, et des déménagements à répétition. On a tout fait nous-mêmes : les dessins, les protos, les allers-retours au Portugal pour la prod, les marchés, les envois.Et aujourd’hui, on continue. Toujours en mouvement, toujours dans le mood, toujours avec le même caleçon. Voilà l’histoire.

Un projet dans un camping, une Dacia, et pas de matelas
Tout a vraiment commencé dans un camping. Pas de logement, pas de plan béton, on dormait tous n’importe comment ; mais on rigolait trop pour s’en soucier. À ce moment-là, l’idée de Calpet était déjà dans un coin de ma tête depuis quelques années. C’était pas compliqué à imaginer : il fallait juste créer une marque qui colle à notre image. Skate, saison, liberté, pas de prise de tête. Et un produit au centre de tout ça : le caleçon. Pas un accessoire. Le cœur du truc.
Une marque de caleçons, mais pas que
On voulait un vrai produit. Confortable, ample, qui tient dans le temps. Le genre de caleçon que t’enfiles le matin d’un jour où tout va bien. Celui que tu mets tout l’été sans transpirer. Celui qui laisse de l’air, du mouvement, des freeballs quoi.
Alors on a bossé. Beaucoup. Et même si tout le monde pense qu’on est une équipe de 5 derrière, en vrai il y a juste une petite meuf + quelques coups de main bien précieux. J’ai toujours parlé en tant que « on », et faut croire que ça perturbe mais je me sens tellement entourée dans ce projet. Les potes ont toujours été là pour filer des coups de main, tester des protos, faire les events, poser sur les photos ou livrer un avis franc sur les coupes, alors cette marque sans eux, elle n’existe pas.
Une vie de saison, entre deux apparts et trois taffs
L’autre face du projet, c’est le quotidien. Calpet a toujours cohabité avec des jobs à côté, des apparts qu’on quitte tous les 6 mois, un rythme bien soutenu. C’est parfois usant ; franchement, à chaque déménagement, on frôle le burn-out de flemme. Mais ça fait partie du deal : vivre libre, vivre dehors, vivre vite.
Entre deux shifts ou deux déménagements, on cale des allers-retours au Portugal pour suivre la production, dénicher les tissus, vérifier les finitions. Des week-ends entiers à courir les fournisseurs, parfois à nos frais, parfois en speed, souvent les deux. Mais c’est ce qui rend Calpet réel. On fait les choses nous-mêmes, pour de vrai.
Calpet,
c’est vous
aussi
Depuis le début, on a rencontré un nombre incalculable de gens. Sur les marchés, les events, dans les DM, ou juste au skatepark. Des mecs, des meufs, des potes de potes, des inconnus qui tombent sur le caleçon et capte direct le mood.
On a toujours dit : “Si tu kiffes Calpet, y’a de grandes chances qu’on puisse être potes dans la vraie vie.”
Et ça se confirme à chaque event. C’est pas une marque qui regarde les gens de haut. C’est un projet qui s’est construit avec vous.

On n’est pas une success story. On est une vraie histoire.
Pas de showroom, pas de levée de fonds, pas de plan stratégique sur 5 ans. Mais une communauté, des rires, des galères, et des caleçons bien taillés.
Et ça, franchement, ça vaut tout le reste. Merci d’être là. Merci de faire partie du freeballs gang. La suite, on l’écrit ensemble. Toujours avec style. Et toujours en Calpet
Tu veux un bout de cette histoire ?
Choppe ton premier Calpet ici.
Ou passe nous voir cet été sur un event